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Marie-Céline NIVIÈRE

Journaliste, biographe

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Photo selfie

Tombée très jeune dans la passion du théâtre, je suis entrée au Cours Simon à l’âge de 14 ans et j’en suis « sortie » à l’âge de 20 ans.
Comme le théâtre faisait peur à mes parents, je suis entrée à Paris I en Faculté d’Histoire. Après ma maîtrise, dont le sujet était : « Les Interrogations de la Gauche Communiste Française face aux premiers effets de la déstabilisation à travers l’exemple des « Lettres Françaises » de 1954 à 1957 », et après un petit détour par le monde de la publicité auprès de l’Agence Mundoprint (Publicis) et Bleu Touareg , je me suis rappelée qu’adolescente ma phrase préférée était : Si je ne suis pas Sarah Bernhardt, je serai ‘chef  théâtre’ à Pariscope.  J’ai donc quitté un univers où je n’avais pas ma place pour entrer au journal Pariscope en 1991. De petite main, j’ai terminé Chef de rubrique. La fin annoncée du journal m’a fait quitter ce poste que j’adorais en 2015, soit un an avant la fermeture définitive de ce grand petit journal.
Après cette longue aventure, je suis devenue assistante metteur en scène, auprès de Christophe Lidon, Gil Galliot, Josiane Pinson, Anne Bouvier, Bernard Malaka.
A la demande du Syndicat National des Metteuses et Metteurs en Scène (SNMS), j’ai participé à l’élaboration du Grand Livre (https://www.snms.info/grand_livre.htm).
Depuis 2021, j’ai repris ma plume et ma casquette (la seule qui m’allait) de journaliste-critique-reporter pour le site culturel, L’Œil d’Olivier (https://www.loeildolivier.fr/).